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La nouvelle policière d'un amant. |
Le crime ambigu:
L'histoire se déroula le 6 mars 2018.Comme chaque semaine, Salim allait chez son voisin Imad , c'était un jeune homme âgé de vingt-trois ans, célibataire, il était d’une longue taille et robuste, un visage circulaire et une barbe bien rasée. Le voisin était un homme très gentil et aimable à la part de tous les habitants du quartier, il vient d’embaucher un nouvel emploi dans un centre commercial.
C’était le dimanche soir, Salim arrivait chez son voisin à huit heures, il frappa à la porte mais personne ne répondit, il pensait qu'il n'était pas encore revenu de son travail. Il retourna chez lui .Le lendemain matin, Le copain appelait mais en vain, alors il devient inquiet, il retourna chez lui avec un air triste, en approchant de l'impasse où il habita, il vit une fenêtre baillée, il commença donc à douter ! En se précipitant à monter dans un escalier spirale de bois, il entrait par la fenêtre. Il devint bée de ce qu'il voyait !il trouva la maison salissait par des traces sanguines tout au coin du salon, brusquement il vit Imad plongé sur son canapé, il se précipita vers lui pour lui donner des secours. Malheureusement, il lâchait ses dernières forces en s’agonisant en paix, Salim était très peureux; ses mains tremblaient, son cœur palpitait et en prenant le téléphone pour appeler la police en bafouillant.
Après quinze minutes, la police scientifique et technique arrivèrent au lieu de crime avec un médecin légiste ; deux policiers commencèrent à circuler une rubalise jaune pour encercler la scène du crime. Le médecin mit ses gants pour examiner le cadavre, il trouva donc deux coups de couteau au corps du défunt, alors que l'inspecteur extraira de la vitrine cassée des empreintes du pouce et de l’index mouillées du sang et une carte Visa sur la table à repasser. Les enquêteurs sortirent donc aux alentours pour chercher s'il y avait des témoins oculaires qui purent enrichir l'enquête ; en commençant par le gardien du quartier ; déclara-t-il aux inspecteurs : « il ne sera qu’un jeune homme fantasque d’une corpulence taille, dès l’aube ; son va-et-vient me soupçonnait, je n'ai pas vu son visage mais j'ai vu qu'il avait une coupe au bol, porte un gilet en noir et à sa main droite porte quelque chose avec un nom tatoué sur son bras, après, il a arrêté un petit taxi pour le prendre à l'hôtel «Mounia » au centre-ville. » Le commissaire lança vitement au radio au plus proche patrouille de police de se diriger vers l'hôtel en donnant toutes les indications pour y arrêter le criminel.
L’opération donc est effectuée par succès ; deux inspecteurs camouflèrent leurs aspects vestimentaires avec une coordination de la réception de l’hôtel ; ils avaient l’air des serveurs de la cantine, en se rapprochant de lui pour donner signe à l'équipe pour s’intervenir, ils frappèrent la porte, Le commissaire entra en déclarant : « haut les mains, tu es arrêté à cause de crime de meurtre, la concordance des empreintes trouvées à la scène de crime assimile à celle de votre identité, toute parole dite ou violence faite sera contre toi comme preuve devant le juge. » le commissaire demanda aux policiers de le menotter.
Le criminel est dirigé directement au commissariat, il avoua : « c'est moi qui l'a tué et c'est à cause de la fille qui travaillait avec lui. Je l'aimais à force que je tuerai toute personne partageait avec elle juste un regard. »
Le criminel est donc pris une prison ferme durant toute sa vie pour meurtre et utilisation d'arme blanche avec une réinsertion psychique. Le défunt est présenté à sa famille pour l'enterrer.
